La difficulté chez Charles S. Peirce, en particulier avec sa conception du signe, tient au fait que sa pensée apparaît au premier abord comme particulièrement spéculative, par son souci élevé d’abstraction et de généralité. Mettant l’accent sur la relation entre la pensée, le réel et le signe, Michel Olivier situe bien au centre de son propos la description du haut niveau de généralité de la pensée sémiotique de Peirce; il répond à la question Qu’est-ce que le réel ? chez Peirce par l’accent mis sur une approche réaliste, et de surcroît antinominaliste et anti-empiriste.
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